La dimension émotionnelle va avoir une incidence sur le ressenti de la douleur.
- Mais ne perdons pas de vue que les émotions ont parfois mauvaise presse, nous sommes souvent ignorants de nos émotions. Il est donc de notre ressort d’aider à mettre des mots sur les maux : (peur, colère, tristesse, haine, désespoir …)
- Les dommages collatéraux, surtout dans le cas de personnes atteintes de cancer, nous essayons de préserver l’entourage, les proches, de ne pas les inquiéter etc …
- Il y a aussi des facteurs familiaux, comment avons-nous été éduqués à la douleur ? (nous avons tous entendu même pas mal par nos parents). Quel regard mon entourage porte sur moi ?
- Comment n’ai-je pas envie de me montrer ? (je suis souriante, je m’habille bien pour cacher ma douleur…il ne faut pas montrer).
Toutes les techniques non médicamenteuses.
- Approche et soutien psychologique
- Psychothérapies et démarche analytique
- L’Hypnose
- L’Homéopathie, phytothérapie, naturopathie
- Médecine chinoise, ayurvédique, tibétaine.
- Le yoga, Do in, Tai Chi
- La méditation
- Le message.
- La sophrologie.
Où va agir la sophrologie sur la personne douloureuse ?
- Retrouver la capacité de sa respiration
- Réintégrer son schéma corporel (retrouver son image )
- Gérer ses Emotions (colère, tristesse....)
- Baisser le seuil émotionnel.
- Travailler sur le relâchement musculaire
- baisser le seuil de la douleur .
- Renforcer ses capacités (la confiance en soi, l'estime de soi ...)
- Focaliser l'intention sur le positif . (je ramène à moi des sensations agréables pour diminuer la douleur).
- Gérer sa fatigue.